En 35 ans, 18 000 médecins et chirurgiens sont devenus nos clients.
Chacun d’entre eux s’est assis, en moyenne, 10 ans sur un Bambach.
En France, le mal de dos est la première cause d'arrêt de travail en milieu médical.
- Les troubles musculo-squelettiques représentent 87 % des maladies professionnelles reconnues dans le secteur de la santé, et touchent 40 % des soignants. (Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail. (EU-OSHA))
- Lorsque la posture assise est voûtée ou penchée vers l’avant, surtout avec un poids frontal supplémentaire, la pression exercée sur les disques lombaires peut augmenter d’environ 300 % par rapport à la position debout.
- Résultats : un taux d’absentéisme augmenté, une surcharge de travail pour les collègues et une baisse de productivité des cabinets médicaux, dentaires et blocs opératoires.
- Les sièges standards utilisés par les soignants contraignent le bassin, forcent le dos à compenser, empêchent des mouvements clés comme l'inclinaison du buste et la rotation du tronc, et aggravent les tensions.
Bambach est différent.



















Créé en 1980 par Mary Gale, ergothérapeute australienne, le Bambach est un siège unique et reconnu comme tel sur le marché, en forme de selle, qui place le bassin en position neutre.
Sa première commercialisation a eu lieu en 1988, après 8 ans de tests cliniques et de développement.
Aujourd’hui, le Bambach est fabriqué en Allemagne. Il est plébiscité par les dentistes, chirurgiens, podologues, et autres professionnels de santé car :
- Il redresse naturellement la colonne.
- Il libère les épaules et les bras.
- Il préserve la mobilité du buste, indispensable dans les gestes techniques.
- Il est fabriqué en Allemagne.
- Il dure plus de 10 ans.
- Le revêtement est en cuir.
- Les pièces sont remplaçables.
Les sièges classiques | Le Bambach |
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Sur un siège classique, le bassin n’est pas maintenu. | Avec le Bambach, le bassin est maintenu. |
Il part en arrière, il génère à la colonne vertébrale une courbe en C, non naturelle, néfaste pour les disques inter-vertébraux, causant inconfort puis arthrose - et ceci même en position apparente de repos. | Le fessier repose parfaitement sur le troussequin de la selle, comme nos ancêtres qui montent à cheval depuis 5500 ans. |
La cambrure naturelle en S du rachis est conservée, les disques ne sont pas sollicités, l’utilisateur est libre de ses mouvements. | |
Par exemple, lorsqu’il se penche en avant, il le fait par une rotation du bassin et non plus par une flexion de la colonne : son dos est moins contraint. | |
Un réglage de l’inclinaison permet d’adapter précisément le siège à la cambrure de l’utilisateur. |